Salut! Je vous laisse avec le prologue de l’histoire, narrée par Clove ;). J’en profite pour vous informer que je ne crois pas pouvoir mettre en ligne plus d’un chapitre par semaine…Peu être deux, parce que je ne veux pas vous donner tous les chapitres déjà écrits en quelques jours puis que vous deviez attendre trois semaine avant de voir l’ombre du suivant.(Je vous préviens, je suis lente comme moi seule peu l’être) De toutes façons ne vous en faites pas, les chapitres sont assez long J.
J’espère que ça vous plaira !
This is a story of a girl
Who cried a river and drown the whole world
But while she looks so sad in photographs
I absolutely love her when she smiles
Story of a girl, Nine Days
CLOVE
Comment commence-t-on une histoire ? Franchement, je ne sais pas trop. Dans ma vie y’a toujours eu des choses plus importantes qu’écrire ce que j’ai fait et pensé avant. Et en plus j’ai vraiment du mal avec les débuts. Euhhhh…pff, c’est vraiment compliqué tout ça. Si tu es en ce moment même en train de lire ma ridicule introduction, je te remercie. Pourquoi ? Parce que ça veut dire que tu veux en savoir plus. Tu veux en savoir plus à propos de ce que raconte une fillette stupide qui a eu de la chance de ne pas encore s’être brulée, vu que son district se consacre à se mettre sous terre et se remplir de poussière. Tu veux savoir ce que pensaient la fille sadique et folle qui lançait des couteaux, et le géant qui pouvait casser le cou d’une personne avec ses seules mains, et peut-être plus, tu veux connaître leur histoire, celle que jamais personne ne voulu connaître parce personne ne s’intéresse à la vie d’un tribut mort. Alors merci.
Bon, ça serait mieux que je commence. Je suis née une nuit de mars pluvieuse qui ne fût pas facile chez moi. Mon père, Raw, n’a jamais apprécié les petites filles. Frère d’un vainqueur du district, qui l’avait toujours surpassé en tout, l’unique chose qu’il voulait été un fils qui pourrait gagner les Jeux pour lui, alors il avait supporté sa première fille, Bethany, mais la seconde, en gros, moi, ça ne lui plut pas. Quand il vu que ce que soutenait ma mère dans ses bras était un bébé squelettique et petit, avec une unique mèche de cheveux obscurs comme l’aile d’un corbeau et la figure pleine de tâches de rousseurs, la sage femme m’a raconté qu’elle a crut qu’il avait envie de me tuer.
- Une autre fille ?!-cria t-il, irrité par les pleurs de ma sœur
- Oui, une autre fille
- Mais c’est que dans cette famille on ne sait pas faire des garçons ?!Bah, et en plus celle-ci ne survivrai pas deux jours.
Mais oui, bien sur. Deux jours, ha !
- Elle les survivra –répondit ma mère en me serrant avec force- Clover est plus forte qu’elle n’y paraît.
- Clove ? Tu n’a pas de meilleure idée ?
- Non, Clove non, Clover. Regarde dehors. C’est plein de trèfles, de clovers. C’est un signe, elle doit s’appeler ainsi.
On se fiche tous que dans le registre soit écrit Clover Ringer : depuis l’erreur de mon père ce jour là, je suis Clove pour tout le monde.
- S’il te plaît, regarde-la-on voit qu’il m’adore…- elle est minuscule, a des taches de rousseurs et ces cheveux… D’où es qu’il est sortit ? Elle est horrible- ohhh, moi aussi je t’aime papa-.
- Arrête de t’énerver contre elle- le gronda ma mère- C’est ta fille, qu’elle te plaise ou non.
Et après les discussions sur la probable vie du bébé, son nom et ses maudits cheveux noirs, la joyeuse journée de ma naissance se termina.
Je ne manquais jamais de rien, mais mon enfance n’en fût pas plus facile. Je grandis sous les moqueries à cause de cette chevelure noire, en étant la fille à part qui, bizarrement, était la sœur de la belle et sympathique Bethany Ringer. Je rentrais à la maison en pleurant presque tous les jours, espérant pouvoir me blottir dans les bras de ma mère, pendant qu’elle faisait tout pour éviter que je me rende compte des cris et disputes qui régnaient dès mon arrivée. Et ça fonctionna. Jusqu'à ce que je fête mais huit ans.
Depuis quelques semaines, j’avais essayé de former une barrière d’indifférence envers les méchants commentaires de mes compagnons, essayant de cacher combien ils me faisaient mal. Cependant, ils continuaient de me poursuivre dans mes cauchemars, ce qui me réveillait pleine de sueur au milieu de la nuit. Et ce jour là ce ne fût pas différent. Je me réveillais terrorisée comme tant de fois, serrant avec force mon vieil ours en peluche. Je sortis du lit et je me dirigeais vers la salle de bain pour prendre un verre d’eau. J’étais sur le point de retourner dans ma chambre quand j’entendis les cris en bas, dans le salon. Je descendis en tremblant les escaliers, ayant peur qu’un quelconque voleur ne fusse rentré, mais en arrivant devant la porte, je découvris avec soulagement que ce n’était que mes parents. Même si une voix intérieure me disait que ce que je faisais était mal, la curiosité fût plus forte et je restais pour écouter.
- …Raw, tu ne peux pas l’y obliger. Tu dois la laisser ce qu’elle veut.
- Et ce que moi je voulais, hein Patricia ? Moi je voulais un fils, un fils qui remplisse d’honneur la famille ! Comme se fût impossible d’avoir un fils, je perdis espoir. C’est alors que je vis que Bethany était forte, qu’elle pourrait le faire, et je fus un peu plus près de mon rêve : un fils vainqueur. Et quand je lui dis qu’elle doit tirer sur une cible, qu’elle me répond qu’elle ne fera de mal à personne, toi, tu la défends ! C’est injuste Patricia, c’est injuste que tu ne me laisse pas profiter de mon unique opportunité de surpasser mon frère !
N’importe qu’elle personne ce serait sentit mal en se rendant compte qu’elle n’aimait sa fille que pour se sentir fier, mais pas mon père. Et ma mère le savait, alors, au lieu de le gronder, elle chercha une autre sortie.
- Tu n’a pas que cette opportunité Raw. Et Clover ? Tu n’as même pas essayé avec elle. Et si elle voulait s’entrainer ?
Mon père partit dans un rire incontrôlable.
- Clove ? La petite et faible Clove ? Celle qui rentre tous les soirs en pleurant parce que les enfants l’embêtent ? Le corbeau noir de la famille ? Celle qui dort avec un ours en peluche ? Mais oui, bien sur Patricia, se sera une grande professionnelle ! Ha, ha, ha !
Tout alla très vite. Tout à coup, je montais les escaliers vers ma chambre avec des larmes coulant sans control sur mes joues. Je m’allongeais sur le lit et pleurait le reste de la nuit.
Je me réveillais avec la figure rouge comme une tomate. Devant le miroir, je me rendis compte que papa avait raison, je n’étais rien de plus qu’une petite fille qui ne pouvait même pas se défendre de quelques nains moqueurs.
« Plus jamais je ne serait faible. C’est fini. »-dis je à mon reflet dans la glace. Je me lavais la figure, et revint dans ma chambre. Je pris l’ours en peluche, la maisonnette de poupées et les dessins de fleurs accrochés aux murs, et les jetais par la fenêtre. « Plus jamais »me répétai-je.
- Papa- dis-je en entrant dans le salon
- Oui Clove ?
- Je veux m’entrainer pour les jeux.
Mon père cracha le peu de café qu’il venait de mettre dans sa bouche.
- Quoi ?
- Je veux m’entrainer pour être une professionnelle- répétai-je d’une voix ferme-
- Clovey, arrête tes conneries
- Ce ne sont pas des conneries. Et je ne m’appelle pas Clovey, mais Clove.
Voyant qu’il ne pourrait rien tenter de ce côté-là, il tenta :
- D’accord Clove. Et comment prétends-tu devenir professionnelle ? Les professionnels ne jouent pas à la poupée.
- Je sais. Je les ai jetées par la fenêtre. Ce sont des choses de fillette…comme pleurer et fuir des autres « gamins ». Je ne pleure plus, ni me cache de personne. Je suis forte.
- Mais Clove, ceux qui s’entrainent pour êtres professionnels sont grands et forts. Toi tu es très petite- ajouta t-il en se demandant si tout cela n’était qu’un caprice-
- Je grandirais !- criai-je irritée par son manque de confiance, même si je me doutais qu’il dirait cela- Et pendant ce temps j’apprendrais à manipuler des armes et à me battre ! Puis quand je serais grande je gagnerais les Hunger Games, même si toi tu n’as pas pu.
Je me tu juste après, consciente de se que je venais de dire. Super, j’avais tout foutu en l’air, bye bye les entrainements.
Mais ce qui n’arriva ensuite personne n’aurait pu l’imaginer. Mon père se leva de sa chaise et me pris par les épaules avec force. J’étais morte de peur, mais je ne cillai pas.
- Si je t’entraine comme une professionnelle jusqu'à ce que tu puisses intégrer l’école tu me promets que tu feras tout ton possible pour gagner les Jeux ?
J’acquiesçai rapidement. Mon père souri.
- Alors nous commençons demain. Soit à l’heure, Clover Ringer
J’ignorai les grimaces d’horreur de Bethany, ainsi que les yeux humides de ma mère. Parce que dans ceux de mon père je vis quelque chose que jamais avant je n’avais vu : l’orgueil de m’avoir pour fille.
FIN DU PROLOGUE
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Bon…ça vous a plu ? Il mérite la première place dans la liste des pires débuts de l’histoire ? Il était suffisamment long (c’est le plus court pour l’instant) ? Commentez, ça m’intéresse !
Ah ! Ce qui apparait en italique au début, c’est un bout de la chanson Story of a girl de Nine Days. Presque tous les chapitres auront une petite part d’une chanson au début, qui en plus, leur sert de titre. J’en aie eu l’idée parce que certaine paroles semblent avoir été écrites pour quelques moments de l’histoire.
¿en frances? Jooo hay cositas que no consigo entender :( Mi vocabulario no llega a tanto
ResponderEliminarJaja, no te creas, yo tampoco (la traducción la hace mi prima, y luego me la envía para que la publique).
Eliminar¡Un beso!
C'est génial
ResponderEliminarLO escribiste tú, Dillaardi? Muy buen francés cielo
Merçi beaucoup!
EliminarY no, ojalá supiera tanto :(. Mi prima es francesa, entonces me propuso traducir los capítulos para ampliar el público :). Obviamente, el francés es bastante correcto jajajaja.
¿En frances? jajaja, al principio crei que me estaba saliendo mal o algo, pero luego me di cuenta de que no jaja, le di a traducir y bueno no me he enterado de mucho, pero muy buen frances! :) muakss
ResponderEliminarJajajaja, sí, creo que debería avisar cada vez que vaya a publicar algo en francés jeje.
EliminarYo también probé la traducción de google... Es bastante mala, pero vamos, no te preocupes que es el mismo prólogo ya publicado en español, solo que traducido por mi prima, que es francesa y bilingüe :D
¡Un beso!
Hem...bueno, gracias a todos por complimentar la traduccion, pero admito que no es muy difficil, solo tengo que copiar. Tambien aviso mi querida prima que casi he terminado el capitulo 1, y que se lo enviare lo mas pronto que pueda, que no sera mas de uno o dos dias. Em... algunas expreciones las tuve que cambiar(perdon)porque eran incompreensibles en francés. Y bueno que un beso. M
ResponderEliminarBueno, aún así ya sabes que a todo el mundo le parece que tienes un gran francés xD.
EliminarY sobre el capítulo 1 genial ^^, aunque no te preocupes, que no hay prisa ;). Las expresiones... Haz lo necesario por el bien de la historia xD.
¡Un beso!
PD: No es complimentar, es hacer cumplidos :)
Ah vale! Vez, me puedo equivocar jejeje.
EliminarJajaja, pero te equivocas poquito ;)
EliminarMon dieu! J'en aime trop... J'avais écrit une histoire de Clove aussi, mais je n'en jamais publiqué... J'ADORE CETTE CHAPITRE
ResponderEliminarc'est incroyable, je suis française et il y avait beaucoup de temps que je n'ai pas parlé français, mais il m'a plû bien de lire ton blog
Vamos, que me has dejado encantadísima, Dilaardi :D me he llevado una grata sorpresa, así que volveré a por más!
Un beso enorme!
¡Ala, muchísimas gracias :D! A mí me encanta tu blog, y aunque el diario de Katniss lo tengo a medio leer, soy una gran gran gran fan de LJDHV. Jo, ¡es que me has alegrado la semana!
Eliminar¿Y una historia de Clove? ¡Por favor, publícala! Con lo bien que escribes, seguro que estaría genial :D.
Bueno, y si quieres más, en español ya tengo publicados seis capítulos, y mi prima me acaba de enviar el siguiente en francés. ¡Espero que te gusten!
¡Un beso!
PD: ¿Quieres que añada tu blog a los afiliados?
Sí porfa! yo también te afilio ahora mismo! ^^
EliminarTe aseguro que voy a leer el resto de capítulos! :D
Vale bien, y gracias :D.
Eliminar¡Un beso!